https://www.dailymotion.com/video/x91qpmkNaisseur-engraisseur mais surtout sélectionneur de vaches salers, l’Earl de la Croix Mahieu à Ingouville en Seine-Maritime (76), fait partie des élevages qui contribuent au développement de la race dans le grand Ouest, zone qui représente aujourd’hui 17 % de femelles. Cette race réputée pour ses qualités maternelles et sa facilité de vêlage a vu ses effectifs augmenter de 15 % en dix ans et se place quatrième des races allaitantes françaises.
Les Salers de l’élevage de la Croix Mahieu ne sont pas coiffées de leurs fameuses cornes en forme de lyre, et pour cause, l’élevage est l’un des membres fondateurs du Gie polled excellence Salers. Autres particularités de cet élevage normand : le vêlage d’été et le vêlage des génisses à deux ans, une technique qui requiert une bonne complémentation mais qui permet d’accélérer le progrès génétique et d’augmenter le nombre de veaux dans la carrière d’une vache.
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Quelle évolution du prix des terres en Bretagne en 2024 ?
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026