Pour ajouter l’article à vos favoris identifiez-vous.
« Pour un fourrage de qualité, récoltez les dérobées fourragère tôt », voilà ce que conseillent les experts d'Arvalis. Reste maintenant à trouver un compromis entre le bon stade de la plante et le rendement, mais aussi la fenêtre météo, la portance des sols et la disponibilité pour le chantier de récolte.
Face à une météo clémente en ce début de printemps, les premiers chantiers de récolte de l'herbe ont démarré. « Récolter tôt permet de préserver la qualité des dérobées fourragères », expliquent les techniciens d'Arvalis. Dans certains secteurs pourtant, il faudra encore attendre car les sols sont gorgés d'eau.
Le stade physiologique de la plante détermine sa valeur alimentaire
Comme en céréales, il est essentiel d'observer la hauteur de l'épi dans les maîtres-brins en fendant les gaines à l'aide d'un couteau, comme nous le montrent les experts :
Entre qualité et quantité : il faut trouver le bon compromis. Une récolte précoce assurera certes une bonne qualité de fourrage mais le rendement sera un peu moins important. Concernant le ray-grass d'Italie par exemple, il est conseillé de faucher au plus près du stade épi 10 cm s'il est destiné aux animaux à forts besoins (vaches laitières ou jeunes bovins à l'engraissement par exemple).
Votre email professionnel est utilisé par les sociétés du groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters
et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici.
Consultez notre politique de confidentialité
pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits.
Notre service client est à votre disposition par mail : serviceclients@ngpa.fr.
Une concession perd la carte Fendt, une armada de tracteurs part aux enchères
Des tracteurs canadiens à la conquête de la France et de l’Europe
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Simon Huet : « Je gagne plus d'argent à être autonome qu'à être en bio »
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
« Je vends mes broutards 20 à 25 centimes plus chers grâce aux marchés aux bestiaux »
Reprendre le contrôle sur les troupeaux à haut niveau cellulaire