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Après avoir manqué de fourrage l'an dernier, Antoine Thibault, éleveur laitier de l'Eure, cherche des solutions pour assurer son stock dans sa zone à sécheresse récurrente. Il s'est tourné vers la gamme des maïs m3 de Pioneer et réalise actuellement un essai afin de vérifier l'adaptabilité de ces variétés à ses besoins. Il nous explique comment et pourquoi dans une nouvelle vidéo.
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« Avec la sécheresse, 2019 aura été une année vraiment difficile pour les récoltes de maïs », explique Antoine Thibault dans une nouvelle vidéo postée sur sa chaîne Youtube. Souvenez-vous en août dernier, l'éleveur normand constatait avec effroi que ses maïs grillaient sur pied à cause des fortes chaleurs, tandis qu'il manquait déjà de fourrage.
« Mon voisin avait fait une plateforme d'essais avec plusieurs variétés de maïs fourrage et on a pu constater que certaines d'entre elles tiraient leur épingle du jeu et souffraient moins que les autres. Il s'agissait des variétés m3 de Pioneer. » Pour 2020, Antoine a donc voulu réaliser un essai en conditions réelles sur sa ferme. 10 ha ont été semés de la façon suivante : les bordures avec deux variétés précoces et l'intérieur du champs a été divisé en deux avec une moitié de maïs m3 de Pioneer (la variété P8666) et l'autre moitié de Rudolfinio de KWS.
Le maïs a été semé le 22 avril après un labour. Depuis, Antoine a déterré quelques pieds pour comparer les deux variétés. « L'enracinement semble être plus important pour le maïs Pioneer mais difficile de l'affirmer à l'œil nu. » Pas de panique : l'essai sera suivi avec des enregistrements satellites de la végétation et des estimations de biomasse. Des analyses seront également faites à la récolte pour connaître le rendement et les valeurs alimentaires de chacun. À suivre donc !
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