DÉBATS VIFS ET PASSIONNÉS À AQUITANIMA

Cent dix animaux et un juge pour un concours entre passionnés. Une troisième mi-temps festive et animée…

LES PLUIES PRINTANIÈRES EMPÊCHANT LES SEMIS DE MAÏS dans le Sud-Ouest, les vaches annoncées étaient présentes pour cette édition d'Aquitanima où, certaines années, la participation a pu souffrir d'une trop belle météo. Florent Chapon, ancien éleveur, technicien à la CIA de l'Ain, a départagé les 110 animaux présents. « Un concours avec de bonnes primipares, où la qualité va croissante quand on passe des jeunes aux adultes. En fin de concours, on avait deux belles sections de vaches âgées. Dommage que l'effectif n'y ait pas été plus important. » Comme l'an passé, la zone du Sommet de l'élevage était invitée. Une dizaine d'animaux du Cantal, du Lot et du Tarn ont fait le déplacement. Les choix du juge ont entraîné un débat assez vif sur ce que doit être une championne de concours. Une vache « zéro défaut » ou une vache plus extrême à qui on concède quelques points faibles ? Un débat récurrent sur les concours français, mais qui en tout état de cause doit rester dans le respect des personnes.

JEAN-LUC DEMAS

Aperçu des marchés
Vaches, charolaises, U= France 7,05 €/kg net +0,06
Vaches, charolaises, R= France 6,92 €/kg net +0,08
Maïs Rendu Bordeaux Bordeaux 190 €/t =
Colza rendu Rouen Rouen 465 €/t +3

Météo
Philippe Bernhard à droite et Hervé Massot président et DG d'Alsace Lait

Alsace Lait a besoin de lait pour ses ambitions régionales

Alsace Lait

« L’IA ne remplace pas notre métier, elle le facilite »

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