Pour ajouter l’article à vos favoris identifiez-vous.
LE RENDEZ-VOUS DE SAINT-ÉTIENNE (LOIRE) EST DEVENU UN INCONTOURNABLE pour les jeunes passionnés d'élevage. Pas moins de 486 génisses cette année dans un parc des expositions qui se prête bien à l'organisation de concours d'animaux. La date semble convenir aux exposants. Toutefois, comme pour la plupart des concours, le public n'est pas spécialement au rendez-vous. Il est surtout constitué des éleveurs exposants, de leurs familles et amis. Mais la force de cette manifestation est ailleurs. C'est sa capacité à mobiliser les jeunes de toutes les races, et régions, à tel point que face au nombre trop important d'engagés pour les concours de présentation (319), les organisateurs ont dû se résoudre à abaisser l'âge maximum de 25 à 22 ans. Des jeunes qui se prennent en main, gèrent le transport, la préparation des animaux et leur présence sur place, la motivation de ces passionnés d'élevage qui transpire ne sera pas de trop demain pour rester dans le métier.
Votre email professionnel est utilisé par les sociétés du groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters
et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici.
Consultez notre politique de confidentialité
pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits.
Notre service client est à votre disposition par mail : serviceclients@ngpa.fr.
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
Le marché du lait Spot s’agite avec la rentrée
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
L’agriculture biologique, marginalisée d’ici 2040 ?