« Il ne faut pas que les solutions à la maltraitance animale accroissent la souffrance des salariés », estime la FDA-CFDT dans un communiqué. « Les postes de travail des quais de déchargement, des zones de stabulation (où les animaux sont maintenus avant d’être tués), de l'abattage et de l'accrochage sont extrêmement difficiles. Les salariés qui les occupent supportent beaucoup de stress et de pénibilité. » Le syndicat dit craindre que « la solution proposée contribue à accroître la situation de salariés qui effectuent un travail déjà très pénible ».
Si elle « reconnaît que la souffrance animale existe au sein des abattoirs », la FDA-CFDT juge que la voie à suivre est « celle d'une formation des salariés et d'une amélioration de leurs conditions de travail ». Elle soutient également l'augmentation des effectifs des services vétérinaires préconisée par le rapport de la commission parlementaire.
« Depuis une dizaine d'années, la FGA-CFDT n'a cessé de faire valoir son opposition à la tendance actuelle qui est de supprimer les agents de l’Etat sur les lignes d’abattage pour les contrôles de 1er niveau en les remplaçant soit par de l’autocontrôle, soit par des sociétés privées. Elle considère qu’il revient à l’Etat de faire, en toute indépendance, les contrôles de 1er niveau et d'y mettre les moyens humains suffisants. »
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