Pour ajouter l’article à vos favoris identifiez-vous.
Dans le cadre des restrictions sanitaires mises en place pour lutter contre la DNC, les mouvements d’animaux restent encore limités dans les zones réglementées. Or, dans le Doubs et le Territoire de Belfort, des troupeaux sont encore dans les pâtures, sous des conditions climatiques qui deviennent très rudes, alerte la Coordination rurale, prête à amener des bovins devant la préfecture pour obtenir des solutions rapides.
Des vaches alignées dans un pré, sous la neige tombante : la scène a été filmée le 20 novembre pour dénoncer les difficultés que rencontrent actuellement certains éleveurs dans le Doubs et le Territoire de Belfort. « Alors que les conditions climatiques se dégradent fortement, plusieurs exploitations se retrouvent dans l’impossibilité de rentrer leurs animaux, toujours immobilisés en pâtures par les mesures sanitaires », dénonce la Coordination rurale.
Afin de trouver rapidement des solutions, le syndicat demande à rencontrer en urgence le préfet du Doubs, et prévoit en parallèle, si rien ne bouge, d’amener les bovins devant la préfecture, dès aujourd’hui.
L’action vise à montrer « la réalité des animaux laissés sous des intempéries extrêmes », « dénoncer un blocage administratif qui met directement en péril des êtres vivants », et « obtenir enfin une décision permettant le retour immédiat des bêtes en bâtiments », explique ainsi la CR.
Votre email professionnel est utilisé par les sociétés du groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters
et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici.
Consultez notre politique de confidentialité
pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits.
Notre service client est à votre disposition par mail : serviceclients@ngpa.fr.
Une concession perd la carte Fendt, une armada de tracteurs part aux enchères
Des tracteurs canadiens à la conquête de la France et de l’Europe
Simon Huet : « Je gagne plus d'argent à être autonome qu'à être en bio »
« 700 000 l dès la première année pour sécuriser l'installation »
Les premières baisses de prix du lait en Europe inquiètent
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?
Engraisser ou vendre en maigre ? La finition reste rentable malgré la hausse du broutard
« Je vends mes broutards 20 à 25 centimes plus chers grâce aux marchés aux bestiaux »