Depuis la fin du mois de septembre, les cours du beurre et des poudres se sont stabilisés à des niveaux supérieurs de 30 % aux prix des mois de mai-juin. Beaucoup d'entreprises françaises ont déjà vendu les quantités qu'elles auront à produire jusqu'à la fin de l'année. Le marché est donc calme avec peu de disponibilités. D'ailleurs, la collecte française est, elle aussi, très en dessous des deux dernières années. À l'autre bout du monde, celle de l'Océanie a repris. Difficile encore de l'évaluer, mais on estime qu'elle pourrait être supérieure de 1 à 2 % en Nouvelle-Zélande. Une croissance loin de compenser les baisses de production constatées aux Etats-Unis et en Europe (- 1,1 % en août). D'ailleurs, les cours mondiaux progressent à nouveau. Car la demande reste forte et le ralentissement économique de la Chine n'affecte pas le marché des produits laitiers pour le moment. La Nouvelle-Zélande a repris naturellement son leadership de fournisseur de poudre grasse et vend aussi de la poudre 0 % mais l'UE reste le premier exportateur de ce produit.
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En septembre, l'estimation d'Atla (Association des transformateurs de lait) l'établit à 325 €/1 000 l. La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Atla estime qu'elle est à 322 €/1 000 l. En septembre, la valorisation beurre-poudres était inférieure de 3 € au prix moyen du lait payé aux producteurs.
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