Le ralentissement de la collecte a joué à plein pour raffermir les cours tombés au plus bas en avril. Cela vaut en France et dans l'UE. Il a été suffisant pour digérer la baisse, depuis peu, des débouchés italiens et espagnols où les exportateurs peinent à se faire payer. Il a permis aussi de compenser la faible demande de l'industrie des glaces pénalisée par une météo défavorable. Seul point positif pour la demande : l'achat par l'Algérie d'environ 60 000 t de poudre à livrer de juillet à octobre. La « 0 % » européenne s'y est bien placée, moins la « 26 % » où l'UE n'est pas compétitive.
Lait en excédent échangé par les entreprises. Prix départ quai usine. Source : enquête de L'Éleveur laitier
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