La traditionnelle reprise des cours après la trève des confiseurs tarde. Pour cause, il y a beaucoup de lait disponible sur les marchés français, allemand et néerlandais. En face la demande des IAA reste timorée. Les fabricants de produits frais, lait UHT ou glaces manquent de visibilité sur l'avenir d'une consommation qui commence à être malmenée par le climat ambiant de crise et de chômage. La demande russe en fromages allemands marque aussi le pas. Seul rayon de soleil : la demande à l'export sur les dérivés du sérum et la poudre écrémée, toujours dopée par la parité €/$.
Lait en excédent échangé par les entreprises.Prix départ quai usine. source : Enquête L'Éleveur laitier
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