Mi-novembre, la collecte nationale est repartie à la hausse. Les Français envisageraient- ils de payer des pénalités ? L'Allemagne s'avance aussi vers un dépassement. Ailleurs en Europe, la production est plutôt en recul du fait de la contrainte quota. Dans l'hémisphère Sud, la collecte néo-zélandaise a progressé de 10 % cet automne. C'est plus fort en Argentine avec 14 %. Mais la demande mondiale apparaît toujours dynamique. D'après les observateurs, certains acheteurs qui attendaient une baisse se seraient assez peu couverts, ce qui pourrait relancer d'autant les achats au premier semestre. Les Néo-Zélandais auraient déjà placé le gros de leur production et Fonterra a revu à la hausse son prix du lait pour la campagne. La cotation du beurre, qui a atteint un pic historique au printemps (5 000 $/t), a sensiblement baissée. Un peu moins dans l'UE où l'absence de stock et la demande avaient créé une pénurie. C'est l'inverse pour la poudre 0 % dont le cours européen est en dessous du cours mondial, l'UE ayant dû écouler ses vieux stocks de poudre (140 000 t)
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En novembre 2011, l'estimation de l'Atla (Association des transformateurs de lait) l'établit à 316 €/1 000 l. La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Atla estime qu'elle est à 320 €/1 000 l. En novembre, la valorisation beurre-poudres était supérieure de 4 € au prix moyen du lait payé aux producteurs.
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