Tous les ingrédients semblent réunis aux yeux de certains experts pour que les cours flambent à plus de 400 /t cet été. Notamment si la sécheresse continue de sévir et le TB de baisser. Car la demande à l'export, notamment en poudre 0 %, reste ferme. Cela vaut pour l'Asie, mais aussi le Moyen et le Proche- Orient. La matière grasse risque aussi de devenir une denrée recherchée. Pour être « tranquilles », les IAA européennes ont besoin d'un stock privé de beurre de 100 000 à 120 000 t fin août. Fin mai, on était juste à 34 000 t avec peu de chance de combler le trou pendant les trois mois à venir.
*Lait en excédent échangé par les entreprises. Source : enquête de l'Éleveur laitier
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