La baisse des cours, normale juste avant Noël, pourrait vite n'être qu'un mauvais souvenir. La raison : un marché des produits industriels toujours ferme. Cela vaut pour l'UE où les IAA continuent de reconstituer leur stock de matières premières. Misant à tort sur une baisse, elles ne s'étaient pas assez couvertes. L'export tire aussi avec la Russie toujours acheteuse de fromages. Les offres de prix non agressives de la Nouvelle-Zélande sont également de bon augure, comme l'absence de l'Amérique latine sur le marché. De ce fait, certains s'avancent à annoncer une conjoncture favorable au moins pour le premier trimestre, sinon plus.
* Lait en excédent échangé par les entreprises
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