À 3 600E/t, mi-août, la cotation du beurre est toujours aussi élevée. Ce niveau est lié à une pénurie de matière sur le marché mondial. La progression s'atténue cependant du fait d'un niveau de prix qui avive la concurrence avec d'autres formes de matière grasse. La perspective d'un retour des volumes à l'automne n'incite pas non plus les acheteurs à se positionner et les cours s'en ressentent. Le contexte est différent pour la poudre de lait qui connaît un niveau de prix plus commun. D'ailleurs la vente des 200 000 t de stocks communautaire n'a pas pu se faire à cause de la faiblesse des prix proposés. La Commission ne semble pas disposée à brader ces volumes pour ne pas déstabiliser le marché. Certes, l'embellie est évidente mais nous n'avons pas atteint la conjoncture exceptionnelle de la fin 2007. D'ailleurs, la valorisation beurre poudre reste négative. Si la demande mondiale en produits laitiers est dynamique, les pronostics pour la fin de l'année 2010 sont difficiles à établir. Une forte reprise de la collecte dans plusieurs pays pourrait sonner la fin de la flambé
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En juillet 2010, l'estimation d'Atla (Association des transformateurs de lait) l'estime à 315 €/1 000 l (augmentation du prix du lait et effet saisonnalité). La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Elle s'est un peu affaiblie depuis le mois de mai du fait de la baisse des poudres. Atla estime qu'elle est à 293 €/1 000 l. La zone beige ou verte correspond au différentiel entre ces deux prix. Pour le mois de juillet, la valorisation beurre poudres était donc inférieure de 22 €/t au prix du lait payé aux producteurs.
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En juillet 2010, l'estimation d'Atla (Association des transformateurs de lait) l'estime à 315 €/1 000 l (augmentation du prix du lait et effet saisonnalité). La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Elle s'est un peu affaiblie depuis le mois de mai du fait de la baisse des poudres. Atla estime qu'elle est à 293 €/1 000 l. La zone beige ou verte correspond au différentiel entre ces deux prix. Pour le mois de juillet, la valorisation beurre poudres était donc inférieure de 22 €/t au prix du lait payé aux producteurs.
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En juillet 2010, l'estimation d'Atla (Association des transformateurs de lait) l'estime à 315 €/1 000 l (augmentation du prix du lait et effet saisonnalité). La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Elle s'est un peu affaiblie depuis le mois de mai du fait de la baisse des poudres. Atla estime qu'elle est à 293 €/1 000 l. La zone beige ou verte correspond au différentiel entre ces deux prix. Pour le mois de juillet, la valorisation beurre poudres était donc inférieure de 22 €/t au prix du lait payé aux producteurs.
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