La reprise de la collecte se confirme en Europe. Elle est même très forte en Europe du Nord. Les Pays-Bas affichent ainsi une hausse de 10 % au mois d'août. Les producteurs profitent pleinement d'un prix du lait très élevé (au-delà de 400 €/1 000 l) et de la baisse du coût de l'aliment. Dans cette conjoncture, les quotas ne comptent plus. L'Allemagne aussi connaît des hausses de production importantes (5 % en août). Idem en Grande-Bretagne et en Irlande où l'année est favorable aux fourrages. Bien que plus timide, la collecte française décolle également depuis la mi-septembre. Et dans le reste du monde, tous les producteurs réagissent à une hausse du prix du lait conjuguée aujourd'hui à la baisse du prix des céréales. Avec un printemps qui s'annonce favorable, la Nouvelle-Zélande a démarré très fort sa collecte. Dans ce contexte de hausse de la production, les cotations sont d'une stabilité totale. Le marché reste très tendu et aucun changement n'est attendu avant le printemps. Les premières prévisions se font déjà avec un prix du lait 2014 supérieur à celui de 2013.
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En septembre, l'estimation d'Atla (Association des transformateurs de lait) l'établit à 370 €/1 000 l. La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Atla estime qu'elle est à 415 €/1 000 l. En septembre, la valorisation beurre-poudres était supérieure de 45 € au prix moyen du lait payé aux producteurs. Source : FranceAgriMer
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En septembre, l'estimation d'Atla (Association des transformateurs de lait) l'établit à 370 €/1 000 l. La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Atla estime qu'elle est à 415 €/1 000 l. En septembre, la valorisation beurre-poudres était supérieure de 45 € au prix moyen du lait payé aux producteurs. Source : FranceAgriMer
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