Globalement, toutes les cotations des produits industriels se sont stabilisées mais à un niveau inférieur à celui du début d'année : 2 800 €/t pour le beurre, 2 400 €/t pour la poudre grasse. Des cotations très au-dessus du niveau de l'an dernier (30 %). La demande de poudre de lait à l'export est bonne, c'est vrai aussi pour les fromages de type gouda et édam. Ceci essentiellement grâce aux deux gros acheteurs que sont l'Algérie et la Russie. En Asie et au Moyen-Orient, la demande est plus timide. Les cours mondiaux du beurre et de la poudre restent à un niveau élevé pour ces pays. Cela crée une hésitation chez les acheteurs. Quelle sera la suite ? Personne n'ose trop s'avancer. Il existe déjà une petite incertitude sur le maintien de cet équilibre pour les mois d'avril et mai qui correspondent au pic annuel de la production. On ignore aussi l'effet sur le marché de la sortie d'une partie des stocks d'intervention à partir de mai. La situation devrait ensuite se détendre dès juillet. Jusqu'en septembre, l'Europe aura peu de concurrents sur le marché mondial.
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En févier 2010, l'estimation d'Atla (l'association des transformateurs de lait) l'établit à 290 €/1 000 l. La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Étant donné la baisse des cotations des produits industriels depuis le début de l'année, Atla estime qu'elle est à 246 €/1 000 l. La zone beige ou verte correspond au différentiel entre ces deux prix. Pour le mois de février, la valorisation beurre poudres était donc inférieure de 44 €/1 000 l au prix du lait payé aux producteurs.
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En févier 2010, l'estimation d'Atla (l'association des transformateurs de lait) l'établit à 290 €/1 000 l. La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Étant donné la baisse des cotations des produits industriels depuis le début de l'année, Atla estime qu'elle est à 246 €/1 000 l. La zone beige ou verte correspond au différentiel entre ces deux prix. Pour le mois de février, la valorisation beurre poudres était donc inférieure de 44 €/1 000 l au prix du lait payé aux producteurs.
Source : FranceAgriMer
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En févier 2010, l'estimation d'Atla (l'association des transformateurs de lait) l'établit à 290 €/1 000 l. La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Étant donné la baisse des cotations des produits industriels depuis le début de l'année, Atla estime qu'elle est à 246 €/1 000 l. La zone beige ou verte correspond au différentiel entre ces deux prix. Pour le mois de février, la valorisation beurre poudres était donc inférieure de 44 €/1 000 l au prix du lait payé aux producteurs.
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