Le niveau des cours, repartis à la hausse en ce début d'année après le classique creux des fêtes de Noël, s'explique surtout par la faiblesse des disponibilités laitières en France, politique du double zéro oblige (zéro allocations de fin de campagne et gel du 1 % européen). La demande de l'industrie européenne du beurre reste timide. En cause : les perspectives bouchées à l'export avec une demande sur le beurre-poudre en berne en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie. La Chine est saturée après les fortes importations des dernières semaines qu'elle doit maintenant écouler alors que sa consommation intérieure ne reprend que lentement.
(*) Lait en excédent échangé par les entreprises.Source : enquête de l'Éleveur laitier.
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