Après être montées en flèche depuis septembre, les cotations des produits industriels marquent un palier, notamment celle des poudres. Plusieurs explications à cela : la reprise saisonnière de la collecte et l'abandon des restitutions à l'exportation par la Commission. Les opérateurs ont aussi peu de visibilité sur la remise sur le marché des stocks publics (77 000 t de beurre et 268 000 t de poudre). La Commission a annoncé que 51 000 t de beurre et 77 000 t de poudre seront mises à la disposition des organisations caritatives entre mai et septembre pour l'aide aux plus démunis.
Des volumes qui pèseront donc à partir du deuxième trimestre. Mais la Commission peut à tout moment libérer d'autres stocks par adjudication. Cela crée une incertitude pour le premier trimestre 2010. Certes, les contrats sur les produits industriels se négocient à la hausse, mais les acheteurs restent prudents. Quoi qu'il en soit, la demande mondiale est bien orientée avec des cours élevés (4 600 $/t pour le beurre), ce qui laisse espérer un mieux pour les entreprises très orientées sur ces marchés.
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En octobre, l'estimation d'Atla (l'association des transformateurs de lait) l'établit à 245 €/1 000 l. La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Étant donné la remontée des cours des produits industriels enclenchée en septembre, Atla estime qu'elle est à 240 €/1 000 l. La zone beige ou verte correspond au différentiel entre ces deux prix. Les transformateurs qui fabriquent du beurre et de la poudre perdraient désormais très peu : 5 €/1 000. À condition d'avoir négocié des contrats aux cours actuels.
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En octobre, l'estimation d'Atla (l'association des transformateurs de lait) l'établit à 245 €/1 000 l. La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Étant donné la remontée des cours des produits industriels enclenchée en septembre, Atla estime qu'elle est à 240 €/1 000 l. La zone beige ou verte correspond au différentiel entre ces deux prix. Les transformateurs qui fabriquent du beurre et de la poudre perdraient désormais très peu : 5 €/1 000. À condition d'avoir négocié des contrats aux cours actuels.
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