Petite alerte début février avec une baisse des cotations Atla (Association des transformateurs de lait) sur les produits industriels. La poudre à 26 % perd subitement 100 €/t, les contrats de beurre 50 €/t. L'explication tient à la baisse du dollar par rapport à l'euro, qui limite un peu l'export hors UE, et aussi l'approche du pic de collecte avec un peu plus de lait. Rien d'alarmant selon les observateurs de la filière qui ne constatent pas de déséquilibre du marché. D'ailleurs, la collecte européenne est très ralentie (- 1,8 % en décembre dernier). Étant donné l'absence de stocks, on peut s'attendre à ce que les marchés du beurre et des protéines se tendent à nouveau au deuxième trimestre, après le pic de collecte. Sur le marché mondial, la Nouvelle-Zélande a encore augmenté sa collecte cet automne : on parle de 7 ou 8 %. Les États-Unis voient leur collecte progresser après la sécheresse. Ils reviennent sur le marché mondial, aidés par un dollar plus faible. À l'inverse, la production en Argentine a chuté, libérant des espaces sur les marchés d'Afrique et du Maghreb
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En janvier, l'estimation d'Atla (Association des transformateurs de lait) l'établit à 310 €/1 000 l. La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Atla estime qu'elle est à 326 €/1 000 l. En janvier, la valorisation beurre-poudres était donc supérieure de 16 € au prix moyen du lait payé aux producteurs.
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En janvier, l'estimation d'Atla (Association des transformateurs de lait) l'établit à 310 €/1 000 l. La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Atla estime qu'elle est à 326 €/1 000 l. En janvier, la valorisation beurre-poudres était donc supérieure de 16 € au prix moyen du lait payé aux producteurs.
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