L'appel d'offres algérien, portant sur 35 000 à 40 000 t de poudre, n'a pas vraiment eu l'effet attendu. L'UE n'a pu contracter que la moitié des volumes et à un prix inférieur à celui de l'intervention. La Nouvelle-Zélande s'est adjugée le reste. Après avoir touché le fond début août, les cours semblent frémir. Deux raisons à cela : une collecte faible et des entreprises qui, à l'approche de la rentrée, reconstituent leurs stocks. Reste à savoir si la demande sera vraiment là. Ce sera peut-être le cas au niveau européen. En revanche, les opérateurs ne se font guère d'illusions sur le marché mondial, et cela notamment dans les pays musulmans avec le début du ramadan
(*) Lait en excédent échangé par les entreprises. Source: enquête de L'Éleveur laitier
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