https://www.dailymotion.com/video/x91qpmkNaisseur-engraisseur mais surtout sélectionneur de vaches salers, l’Earl de la Croix Mahieu à Ingouville en Seine-Maritime (76), fait partie des élevages qui contribuent au développement de la race dans le grand Ouest, zone qui représente aujourd’hui 17 % de femelles. Cette race réputée pour ses qualités maternelles et sa facilité de vêlage a vu ses effectifs augmenter de 15 % en dix ans et se place quatrième des races allaitantes françaises.
Les Salers de l’élevage de la Croix Mahieu ne sont pas coiffées de leurs fameuses cornes en forme de lyre, et pour cause, l’élevage est l’un des membres fondateurs du Gie polled excellence Salers. Autres particularités de cet élevage normand : le vêlage d’été et le vêlage des génisses à deux ans, une technique qui requiert une bonne complémentation mais qui permet d’accélérer le progrès génétique et d’augmenter le nombre de veaux dans la carrière d’une vache.
« J’ai opté pour un système très simple car c’est rentable »
270 000 vaches dans le désert algérien, est-ce vraiment possible ? Un agronome décrypte
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
« J’ai gagné presque un mois d’IVV grâce aux colliers de détection de chaleur »
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
T. Bussy (FNSafer) : « Beaucoup de monde pense que la Safer, c’est opaque »
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?