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Pour la Coordination rurale, venir en aide aux licenciés des entreprises agroalimentaires bretonnes ne suffit pas.
Mercredi 16 octobre, les quatre présidents des sections départementales de Coordination rurale de Bretagne et Jean-Michel Favennec, président de la CR de la région ont écrit au président de la République, François Hollande, pour lui faire part de son interprétation de la crise économique qui affecte l’ensemble de l’économie agricole et agroalimentaire bretonne.
La solution aux difficultés des entreprises agroalimentaires réside, selon le syndicat, dans un plan de relance de la production agricole en Bretagne avec des agriculteurs en positon de force face à l’industrie agroalimentaire qui les a réduits « à des simples sujets de profits ».
Parmi « les solutions simples » et « dont les effets seraient perceptibles rapidement » citons l’abrogation de la contractualisation obligatoire ou encore « la liberté de transaction des céréales entre producteurs et éleveurs afin de limiter les transports et les autres frais intermédiaires ».
A Bruxelles, la CR demande une réelle simplification de « la réglementation, que ce soit pour la gestion de la Pac ou en matière d'environnement », une révision de la directive nitrates et la fin du « dumping social intra-européen, dévastateur et indigne du projet des pères fondateurs de l'Europe ».
Enfin, la CR propose que l’agriculture soit un champ d’expérimentation de la Tva sociale pour réduire le montant des prélèvements sociaux et surtout une exonération de l’écotaxe qui entrera en vigueur le 1er janvier prochain.
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