Mercredi 13 février,
l’Autorité de la concurrence a condamné huit abattoirs et deux organismes professionnels pour
pratiques anti-concurrentielles. Les premiers se sont entendus sur
les quantités d’achats de porcs afin de faire baisser artificiellement les prix au détriment des éleveurs ; les seconds ont diffusé pendant plusieurs années des consignes de prix à leurs adhérents.
La Frsea et les JA de Bretagne n’ont pas tardé à réagir à cette affaire qui illustre selon eux «
l’échec de la Lme annoncée pourtant comme la solution pour une concurrence saine et équilibrée au sein des filières ».
Ils demandent donc de nouveau aux pouvoirs publics «
une réelle révision de la Lme, afin d’assainir les relations commerciales entre les Pme et la grande distribution et de permettre aux producteurs de se doter des outils nécessaires pour assurer un rééquilibrage dans les négociations commerciales avec l’ensemble des acteurs des filières agroalimentaires ».
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?