L’Emb est favorable à :
- Une augmentation ou réduction des quotas laitiers européens s’opérant en fonction de la demande du marché et non pas selon les décisions politiques prises pour 2008 et allant jusqu’en 2015 ;
- Une limitation individuelle de la production qui soit efficace à l’échelle européenne aujourd’hui et aussi après 2015 ;
- Des régulations qui garantissent un accès équitable au marché et protègent le marché européen d’importateurs dont les produits sont de prix et qualité inférieurs au niveau européen ;
- La création d’un cadre juridique qui permette aux producteurs laitiers d’adapter avec souplesse l’offre à la demande.
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Plus de 300 tracteurs sont stationnés actuellement à Hamm au Luxembourg. Des éleveurs laitiers « européens » sont réunis aujourd’hui et demain pour manifester leurs mécontentements lors des délibérations du bilan de santé de la Pac par les ministres européens. Pour marquer la coup, ils sont venus en tracteur.
Une nationalité différente mais des problèmes similaires : « l'Europe laitière »
« Ce que nous voulons, ce ne sont pas des subventions sous forme d’un fonds pour le lait, mais des conditions cadres qui permettent à un marché équitable de bien fonctionner en garantissant la couverture des frais qu’entraîne la production laitière dans les exploitations » déclare Romuald Schaber, président de l’European milk board (Emb). « Nous voulons un arrêt immédiat de l'augmentation des volumes et un sommet laitier pour maîtriser la situation de crise. »
Romuald Schaber et Jean-Louis Naveau président de l’Organisation des producteurs de lait doivent rencontrer M. Barnier pour évoquer leurs craintes concernant l’avenir de la « filière européenne » et proposer des solutions.
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