L'animal tué le 15 août est un jeune adulte femelle de 25 kilos et celui abattu les 17 août un jeune adulte mâle de 35 kilos, précise la préfecture de Savoie dans un communiqué.
Les cadavres ont été pris en charge par les agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) et déposés jeudi au laboratoire départemental d'analyses vétérinaires de la Savoie afin d'y réaliser les prélèvements nécessaires.
Les opérations ont été mises en œuvre par les lieutenants de louveterie intervenant sur ces deux secteurs, avec le concours de chasseurs habilités, sous le contrôle technique de l'ONCFS.
Ces abattages font suite à la délivrance d'autorisations « de tirs de défense renforcée » à des éleveurs victimes d'attaques récurrentes sur leurs troupeaux.
Les animaux abattus seront décomptés du quota établi par l'arrêté du 18 juillet 2017 fixant à 40 le nombre maximum de loups dont la destruction pourra être autorisée sur le territoire français pour la période allant du 1er juillet 2017 au 30 juin 2018.
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
Le marché du lait Spot s’agite avec la rentrée
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
L’Iddri suggère de briser « l’ambivalence » des chambres d’agriculture en matière de transition agroécologique