Pour ajouter l’article à vos favoris identifiez-vous.
Nouvelle vidéo d'Étienne agri youtubeurre. Cette fois-ci, l'éleveur laitier nous présente sa mélangeuse. Il explique les différentes étapes de préparation de la ration : désilage et remplissage de la machine, mélange puis distribution aux animaux.
Cliquez sur l'image pour lancer la vidéo
Après plusieurs vidéos sur ce que mangent les vaches et pourquoi elles ruminent, après nous avoir fait visiter sa ferme, Étienne agri youtubeurre nous présente le fonctionnement de sa mélangeuse automotrice. En images, l'éleveur sarthois montre comment il désile son maïs et comment tous les aliments montent de la fraise jusqu'au bol.
Plus techniquement, il explique : « C'est une machine qui est homologuée pour aller sur la route. Elle a deux vitesses : une lente et une rapide, même si on devrait plutôt appeler celle-ci "moins lent" parce que concrètement ça va très lentement sur la route. » Il poursuit à l'intérieur : « Il y a beaucoup de boutons, il y a par exemple une trappe pour mettre le minéral, des contre-couteux, une suspension qu'on peut régler, etc. »
En allumant l'ordinateur de bord, Étienne présente la ration des vaches laitières qu'il distribue tous les matins : 165 kg de colza, 195 kg de luzerne, 100 kg de maïs humide, 650 kg d'ensilage de ray-grass, et 2,275 tonnes de maïs fourrage.
Votre email professionnel est utilisé par les sociétés du groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters
et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici.
Consultez notre politique de confidentialité
pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits.
Notre service client est à votre disposition par mail : serviceclients@ngpa.fr.
Une concession perd la carte Fendt, une armada de tracteurs part aux enchères
Des tracteurs canadiens à la conquête de la France et de l’Europe
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Simon Huet : « Je gagne plus d'argent à être autonome qu'à être en bio »
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
« Je vends mes broutards 20 à 25 centimes plus chers grâce aux marchés aux bestiaux »
Reprendre le contrôle sur les troupeaux à haut niveau cellulaire