Un plan d'action contre le parasitisme

L'ENQUÊTE DU LABORATOIRE VIRBAC sur les pratiques et les attentes des éleveurs et des vétérinaires démontre que l'importance du parasitisme est sous-estimée. Il passe au second plan des préoccupations sanitaires, loin derrière la reproduction, les cellules ou les boiteries. Cependant, le parasitisme reste une préoccupation car les éleveurs connaissent les pertes économiques qui y sont liées. Beaucoup de questions se posent aussi dans les élevages : faut-il traiter systématiquement ? Comment revenir à une rotation sur mes pâtures ?

Quelle est l'efficacité des produits disponibles ? « Face à cela le vétérinaire est de moins en moins un partenaire actif dans le conseil sur les problèmes parasitaires », constate Virbac.

Pour le laboratoire, l'adoption d'une approche raisonnée, de préférence après des analyses réalisées par un laboratoire indépendant, et le recours à des produits ciblés, éventuellement moins chers, répondraient aux attentes des éleveurs. Une gestion réfléchie et personnalisée du parasitisme renforcera aussi le rôle de conseil du vétérinaire. « Les praticiens qui sont équipés d'un laboratoire de coprologie reconnaissent que leur conseil est valorisé », note Virbac. Pour répondre aux enjeux spécifiques à chaque élevage, le laboratoire met à disposition des vétérinaires, pour les éleveurs, son offre 3P comme Plan de gestion Personnalisé du Parasitisme. Cette offre « clé en main » allie des moyens de communication avec l'éleveur qui accompagneront l'intervention du vétérinaire, mais aussi des analyses réalisées dans un laboratoire indépendant (coprologie, sérologie, etc.).

S'ajouteront des éléments d'information comme une cartographie trimestrielle de la présence parasitaire dans les régions d'élevage. De plus, Virbac proposera une large gamme de solutions avec différentes familles de molécules ciblant différents parasites.