Selon le jugement obtenu par l'AFP, la préfecture des Alpes-Maritimes doit immédiatement cesser d'autoriser ce type de chasse dans les sept zones qui avaient fait, à la mi-septembre, l'objet de cette autorisation inédite.
Jusqu'à présent les opérations de « tirs de prélèvements » de loups se faisaient sous la supervision de fonctionnaires de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), éventuellement avec l'aide de chasseurs bénévoles formés. Mais face à la difficulté de réduire la population de loups dans le département de France le plus touché par des attaques de troupeaux, la préfecture avait autorisé pour la première fois à la mi-septembre les chasseurs à tirer sur des loups lors de battues au grand gibier, dans des zones de chasse très précises.
Dans ce cadre, des chasseurs avaient tué un loup et une louve, au grand dam de trois associations écologistes qui avaient immédiatement saisi le tribunal en référé pour mettre fin à cette autorisation préfectorale.
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