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Selon Jean-Paul Simier, de Bretagne Développement Innovation, l’activité agro-industrielle en Bretagne dépendra de la capacité à mettre un coup d’arrêt à la perte de productivité de la filière d’une part et à réorienter les aides couplées en faveur de la production laitière, d’autre part.
« Il faut pour cette raison profiter au maximum de l’accord du 26 juin 2013 pour redéployer les aides en faveur de la filière laitière française louée à travers le monde. Après 2015, la France a une capacité de développement que ses principaux concurrents d’Océanie n’ont pas. »
« Sinon, pour favoriser l’élevage, toutes filières confondues, aussi bien l’installation que l’agrandissement, il est urgent d’adapter les normes de construction et les règles environnementales qui prennent en compte la réalité des progrès réalisés. On ne conçoit plus des installations qui ne sont pas aux normes environnementales. »
« Tout cela suppose par conséquent d’alléger les contraintes administratives. »
« A Bruxelles, la politique agricole réformée doit par ailleurs disposer d’une Ocm dotée d’un grand nombre d’outils de régulation et une partie du Feader (crédits du deuxième pilier de la Pac) à la modernisation des filières et des élevages ».
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