Dix-sept cas ont été déclarés en Corse-du-Sud et trois en Haute-Corse. Un stock de vaccin a été réservé chez le fabricant et le réseau de surveillance a été renforcé dans l'île, a précisé la préfecture dans un communiqué.
Dix mille doses de vaccin doivent être livrées la semaine prochaine et 70.000 autres ont été commandées. Le délai de fabrication est en effet de six semaines, la vaccination n'étant plus obligatoire depuis 2011.
Des prélèvements ont déjà été effectués pour confirmer le diagnostic et déterminer la souche du virus incriminé.
A l'issue d'une réunion avec les éleveurs, la préfecture a encore annoncé que des mesures de restriction de mouvement ont été imposées par arrêtés préfectoraux aux élevages, en cas de suspicion ou d'infection confirmée, pour ralentir la propagation de l'épidémie.
La Direction générale de l'alimentation et le réseau d'expertise national sont mobilisés. Une autre réunion des experts et autorités nationales est prévue le 17 septembre. L'Etat s'est engagé à prendre en charge le coût d'une première campagne de désinsectisation dans les élevages et le coût de la vaccination. Une cellule de crise a été mise en place à la préfecture de Corse.
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