« Sept des huit cadres ne sont plus chez nous et le huitième doit s'en aller dans le cadre d'un départ négocié ; ces gens représentent le passé, la justice fait son travail », a déclaré Laurent Spanghero, interrogé par l'AFP. Les huit personnes interpellées en Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées ont été placées en garde à vue dans le cadre de l'information judiciaire ouverte en mars à Paris pour « tromperie simple et tromperie aggravée, faux et usage de faux », a-t-on appris de source proche de l'enquête.
L'entreprise a repris le travail début août sous son nouveau nom de La Lauragaise, et à la fin du mois d'août ses dirigeants annonçaient que son activité « plats cuisinés » avait repris « à hauteur de 50 % », tandis que l'activité viande devait reconquérir des clients avant de redémarrer. « C'est dur, mais on avance : chaque jour on monte une marche, l'activité viande va redémarrer dans dix jours et j'espère que dans un mois et demi cela ira », a dit Laurent Spanghero mardi.
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