« Le Gouvernement vient de décider, dans le cadre du « choc de simplification », la mise en œuvre d’un régime d’enregistrement pour les élevages de porcs, préconisé par le plan stratégique pour l’avenir de la filière porcine française présenté en avril dernier.
Même si cette mesure ne répond que partiellement à notre demande initiale d’harmonisation des seuils Installations Classées français au niveau des seuils européens, nous nous félicitons de ce premier pas vers la simplification des procédures administratives françaises lourdes et coûteuses que nous demandions depuis si longtemps.
Il s’agit d’un signe encourageant, très attendu par les éleveurs de porcs, en faveur de la modernisation des exploitations, d’une amélioration notable des performances environnementales, sanitaires, économiques… et de la compétitivité de la filière.
L’administration doit désormais engager très rapidement la préparation des textes réglementaires de ce nouveau régime. Nous resterons vigilants pour que cette phase de travail permette d’introduire de vraies souplesses et que le choc ne fasse pas flop. »
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Biométhane ou électrique, les alternatives au GNR à l’épreuve du terrain
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026