Cet accord ouvre « la voie à la mise en œuvre d'une Caisse Nationale de Sécurisation conçue pour amortir à la hausse ou à la baisse les écarts entre les prix définis dans les contrats et les prix de marché », se félicite Dominique Langlois, président d'Interbev dans un communiqué.
L'accord, qui s'applique aux éleveurs produisant au moins 20 jeunes bovins, génisses ou bœufs par an, n'est cependant pas obligatoire mais soumis au volontariat.
La loi de modernisation de l'agriculture et de la pêche (LMAP) de juillet 2010 a rendu obligatoire la passation de contrats écrits entre producteurs et acheteurs, dans le lait et les fruits et légumes, même si elle n'est pas active dans ce dernier secteur.
La contractualisation vise à renforcer le pouvoir de négociation des producteurs en face de leur premier acheteur.
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