 La transhumance est essentielle pour maintenir une activité agricole dans les zones les plus défavoirisées. (© Terre-net Média) |
« Loups ou brebis ? Sans un signe fort » du gouvernement, « ce sont les loups qui gagneront et c’est la vie de nos territoires ruraux qui se perdra ! »
« A bout de voir leurs cheptels décimés, leurs brebis égorgées » mais aussi « las de vivre dans un stress constant, à redouter la prochaine attaque », les éleveurs ovins français de la fédération nationale ovine donnent rendez-vous au grand public et aux élus jeudi prochain, le 23 mai, à Paris ». Ils y « exprimeront leurs inquiétudes et leurs raisons d’espérer ».
Avant la montée en estive, les éleveurs du collectif pour la liberté de l'élevage en Provence Côte d’Azur (1) souhaitent, de leur côté, présenter au public les raisons de leur refus du puçage électronique des animaux ou les conséquences de la certification des mâles reproducteurs.
Ils sont convaincus que « ces obligations technocratiques n'ont aucun rapport avec la santé des consommateurs ni avec celle de leurs animaux. Ils privilégient des méthodes d'élevage basées sur l'observation de leurs bêtes et sont à l'écoute du milieu dans lequel elles évoluent ».
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?