« La problématique ne s'arrêtera pas en juin », prévient-elle dans un communiqué, en rappelant les conséquences de la crise actuelle : « des marges nettes moyennes très faibles, de l'ordre de 1 % ; près de 1.000 postes supprimés (et) des plans sociaux en cours ».
Les industriels dénoncent les propositions de la grande distribution qui n'entend, selon les cas, n'approuver de hausse que sur le lait de consommation et celles du médiateur nommé par le ministère de l'Agriculture qui suggère une hausse d'au moins 25 euros/1.000 litres sur avril, mai et juin. Il ne peut, selon la Fnil, « s'agir ni de trois jours ni de trois mois, mais de l'année 2013 au moins » et de tout le lait « quelle que soit sa destination : fromage, yaourt, lait de consommation, beurre ».
La fédération insiste sur la flambée des cours mondiaux depuis le début de l'année, qui devrait se confirmer au deuxième trimestre : « partout en Europe, les industriels revalorisent leur prix de vente pour pouvoir mettre en œuvre ces hausses. Sauf en France ? » demande-t-elle.
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