« Nous sommes au combat et nous allons conduire ce combat ensemble » avec les employés et les élus, a dit le ministre, à l'issue d'une rencontre d'urgence avec des représentants du personnel et des responsables politiques locaux.
Cette réunion a servi à définir « une méthode de travail, mais surtout une méthode de combat pour l'emploi », a dit le ministre.
Cependant, a-t-il admis, « je ne dis pas que le combat sera gagné, je dis simplement aujourd'hui que nous allons livrer ce combat avec toute l'énergie qu'il faut ». Il a invoqué le savoir-faire du personnel de Spanghero pour entretenir l'espoir d'une reprise de l'usine.
Spanghero, prise dans la tourmente depuis février, a été mise en liquidation vendredi, avec la possibilité de poursuivre ses activités pendant trois mois, peut-être six. Durant cette période, le propriétaire actuel, la coopérative basque Lur Berri, va chercher à vendre l'entreprise, qui perdrait 200.000 euros par semaine. Les salariés s'attendent à l'annonce d'un plan social dès cette semaine.
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