Ces trois mois, qui courent jusqu'au 19 juillet, pourront éventuellement être renouvelés une fois, a indiqué le tribunal, qui a prononcé la liquidation avec poursuite d'activité. L'entreprise, qui emploie environ 300 salariés, est à vendre, a indiqué à l'AFP son président, Barthélémy Aguerre.
La liquidation a pour objet de « favoriser les intérêts des repreneurs sur cette affaire-là », a expliqué Barthélémy Aguerre, joint par téléphone. « Nous pensons que la meilleure solution, c'est de mettre cet outil-là sur le marché pour que d'autres opérateurs rassurent le client », a-t-il dit.
Depuis le scandale, « l'activité ne décolle pas, les clients ne commandent pas, on est à 30 ou 50 % de commandes (...) et bien évidemment cela nous pose un problème de trésorerie important », a-t-il souligné. Spanghero perd 200.000 euros par semaine, a-t-il précisé.
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