Le 15 février, l'UE avait lancé un plan prévoyant environ 2.250 tests ADN sur des plats préparés ainsi que des dépistages du phénylbutazone, un anti-inflammatoire nocif pour la santé, dans les carcasses de cheval. 0,6 % de la viande chevaline testée contenait du phénylbutazone, selon le communiqué, qui a été publié brièvement vers 12h (10h Gmt) sur le site de la Commission, avant d'être retiré.
Un communiqué doit être publié mardi vers 15h ou 16h (13h Gmt ou 14h Gmt), a indiqué Olivier Bailly, un porte-parole de la Commission, lors d'un point de presse.
De 10 à 150 tests étaient prévus dans chacun des pays de l'UE, en fonction de leur taille, tandis qu'un échantillon a été prélevé par 50 tonnes de viande chevaline. L'opération était co-financée à 75 % par la Commission européenne.
Concernant le phénylbutazone, « on réaffirme qu'il n'y a pas de danger immédiat dans l'Union européenne avec ce produit », a déclaré Frédéric Vincent, le porte-parole du commissaire européen en charge de la santé et de la consommation, Tonio Borg. Il a toutefois rappelé que ce produit restait interdit dans l'alimentation.
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