 Les prairies permanentes font intégralement partie du dispositif de verdissement de la Pac après 2014. (© Terre-net Média) |
Décidé en juin 2013 par la Commission, les ministres de l'Agriculture et le Parlement européen:
Pas de changement par rapport au projet initial.
_______________________________________________________________________
Pour rappel: proposition du Conseil européen en avril 2013:
Les agriculteurs doivent maintenir les prairies permanentes. Ils ne peuvent convertir plus de 5 % de leurs prairies permanentes. Cette limite ne s'applique pas dans le cas de force majeure ou de circonstances exceptionnelles.
Les États membres veillent à ce que le ratio de prairie permanente soit maintenu par rapport à la superficie agricole totale. Cette obligation s'applique au niveau national, régional ou sous-régional.
La Commission fera office de gendarme pour s’assurer que le ratio de prairies est préservé.
Lorsque, dans une année donnée, le ratio des prairies permanentes par rapport à la superficie agricole totale (nationale, régionale ou sous-régionale) n'a pas baissé de plus de 3,5 % par rapport à l'année 2011 ou 2012, on considérera alors que les agriculteurs ont bien respecté la mesure de verdissement ciblée. Sinon, au-delà de 3,5 %, différents cas de figure se présentent pour retrouver la surface de prairies initiale.
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Biométhane ou électrique, les alternatives au GNR à l’épreuve du terrain
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026