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La société danoise Sac, initiales des dirigeants de la famille Christensen, était le seul constructeur de matériels de traite sur le Sima 2013. Présente depuis une quarantaine d’années en France, la marque souffle ses 75 bougies en 2013. Face à ses concurrents, le directeur de Sac France, Claude Peignard souhaite « cultiver la différence sur le marché français », en s'appuyant notamment sur le réseau d’une trentaine de concessionnaires répartis sur le territoire, principalement des petites structures.
 Le boitier Idc s'adapte également sur un lactoduc aérien pour les stabulations entravées. (© Sac) |
De la stabulation entravée à la salle de traite 2x24 en passant par le robot
Le produit phare de Sac Christensen, c’est le boitier Idc fixé sur chaque poste de traite pour vache, chèvre ou brebis. L’Idc comporte jusqu’à quatorze fonctions différentes : pulsateur, décrochage automatique, compteur à lait, indicateurs de température et de mammites sur chaque quartier (par conductivité) avec diodes d’alarme, blocage du vide de traite, affichage graphique, etc.
L’indicateur Idc sert d’unité de base dans l’ensemble des modèles de traite (hors robot) de Sac : salle de traite jusqu’à 2 x 24 postes, Swing over (un seul bras central pour deux postes), manège rotatif intérieur ou extérieur avec ou sans alimentation,… Plus étonnant, Christensen semble être apprécié des éleveurs de montagne qui traient en étable entravée : « Dans le Doubs notamment, nous avons installé plusieurs modèles de l’Idc T Lite qui est un poste de traite sur rail que les éleveurs déplacent de vache en vache le long de l'étable. Le système est relié à un lactoduc aérien », explique Claude Peignard.
Sur son stand au Sima, Sac présentait également un robot de traite avec un seul bras, issu de la robotique industrielle, pour deux stalles.
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