L’excédent des échanges en produits agricoles bruts s’élève à 312 millions d’euros en janvier 2012, en baisse de 28 millions par rapport à janvier 2011.
|
|
Les exportations de produits bruts (1.266 millions d’euros) baissent légèrement (- 1,3 %). La valeur des exportations de pommes de terre a été divisée par deux (- 56 %) : les volumes exportés (- 26 %) et les prix sont en baisse.
Les exportations de blé tendre diminuent de 58 millions, les volumes exportés sont en baisse de 7 % (Egypte, Maroc), ainsi que les prix. Les importations de blé fourrager aussi diminuent par rapport à l’an passé, car leur achat avait un caractère exceptionnel. La valeur des ventes de maïs et d’orge progresse. Les volumes exportés de maïs augmentent de 47 %, tandis que les prix diminuent. Pour l’orge, les prix expliquent la croissance, les volumes diminuant légèrement (- 3,6 %).
Les volumes exportés de colza (Allemagne, Belgique) augmentent très fortement (+ 74.000 tonnes) mais les importations progressent fortement (Ukraine, Canada)
Les ventes de bovins continuent d’augmenter grâce à la demande turque.
Pour les produits transformés, les exportations vers les pays de l’Union progressent pour l’ensemble des produits, et tout particulièrement les produits laitiers et le sucre.
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Biométhane ou électrique, les alternatives au GNR à l’épreuve du terrain
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026