Avec la sécheresse du printemps 2011, de nombreux éleveurs ont adapté leur stratégie fourragère et se dirigent davantage vers l’autonomie en protéines en implantant des méteils ou dérobées à base de légumineuses. Certes, ces mélanges apporteurs d’azote constituent d’excellents précédents au maïs. Mais ils sont aussi gourmands en eau. Pour Michel Moquet, ingénieur Arvalis-Institut du végétal, il convient ainsi de détruire ces cultures suffisamment tôt pour ne pas pénaliser l’implantation et la levée du maïs au regard de la ressource en eau.

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