 Pour Didier Dréau, de Kws, l'un des objectifs, pour le maïs fourrage, est de proposer des variétés plus résistantes aux variations climatiques. (© Terre-net Média) |
S’ajoutant aux nombreux épisodes de sécheresse enregistrés depuis dix ans, celui de ce printemps 2011 ne restera pas sans enseignements. Pour les semenciers, il confirme leurs orientations vers une sélection variétale davantage axée sur la lutte contre le stress hydrique.
Chez Kws, cet axe de sélection est confirmé.
« Dans les régions très fortement touchées par les restrictions d'eau, nous adaptons la sélection variétale à ce manque d'eau, » explique Didier Dréau, chef des ventes Ouest chez Kws.
Plus généralement, les variations climatiques incitent les producteurs de semences de maïs à sélectionner des variétés moins sensibles à ces variations. «
L’objectif est de proposer des variétés qui offrira des plages de récoltes plus larges pour les agriculteurs. Car avec les aléas climatiques qui se multiplient, ces derniers maîtrisent de moins en moins la période de temps où la culture peut être récoltée. »
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Quelle évolution du prix des terres en Bretagne en 2024 ?
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026