 Les cocontractants peuvent faire appel au médiateur pour tout litige né à l'occasion de la conclusion ou de l'exécution d'un contrat dans le cadre de la Lma. (© Terre-net Média)
|
Pierre Lepetit, le nom du
médiateur est connu depuis que le ministre de l’Agriculture en a fait l’annonce au congrès de la Fnsea, mais ses fonctions viennent juste d’être définies au journal officiel.
Selon le décret paru ce 6 avril, il ressort que « le médiateur peut prendre toute initiative de nature à favoriser la conciliation des positions des parties aux contrats mentionnés à l'article L. 631-24. Il peut émettre des recommandations sur l'évolution de la réglementation, qu'il transmet au ministre chargé de l'Agriculture et au ministre chargé de l'Economie. »
Le décret rappelle aussi que le médiateur aux contrats est nommé par arrêté.
Pour rappel, la loi de modernisation de l’agriculture prévoit la possibilité pour les cocontractants de saisir un médiateur de tout litige né à l'occasion de la conclusion ou de l'exécution d'un contrat relevant des dispositions précitées. Sont concernés les producteurs agricoles et leurs clients lorsqu'ils relèvent d'une obligation de contractualiser en application de l'article L. 631-24 du code rural et de la pêche maritime.
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Biométhane ou électrique, les alternatives au GNR à l’épreuve du terrain
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026