|
 Le rachat d'électricité photovoltaïque pourrait constituer une source de revenu indispensable pour accompagner une modernisation du parc bâtiment. (© Terre-net Média)
|
« La profession agricole souhaite qu’une part des installations photovoltaïques soit réservée à l’agriculture », écrivent dans un communiqué commun, l’Apca, la Fnsea, Ja et Coop de France.
« Les propositions actuellement faites par les représentants des ministères lors de la concertation ne sont pas suffisantes pour espérer un développement du secteur photovoltaïque » souligne le communiqué qui ajoute que « l’Etat doit, dès maintenant, faire des choix et en assumer les responsabilités : permettre aux agriculteurs de mener à bien leurs projets alliant production d’énergies renouvelables et compétitivité de la Ferme France. Sans cela, les agriculteurs n’auront plus l’énergie … d’en produire ! »
« Un atout de l’amélioration de leur compétitivité »
« La profession agricole souhaite ainsi s’inscrire dans un plan sur 10 ans de participation des agriculteurs au schéma national de développement des énergies renouvelables » voulu par le Grenelle de l’Environnement.
Les agriculteurs en font « un atout de l’amélioration de leur compétitivité». Le rachat d’électricité photovoltaïque pourrait en effet constituer une source de revenu indispensable pour accompagner une modernisation du parc bâtiment.
Par ailleurs, la profession propose la mise en place d’une «réglementation stricte » « pour interdire le photovoltaïque au sol sur les terres à vocation agricole ». « La priorité doit être donnée au secteur des « moyennes et grandes toitures et non au sol comme il est envisagé actuellement».
Et pour tenir compte des gains en compétitivité du secteur photovoltaïque, « il est préférable d’attribuer un plafonnement annuel de la Contribution au Service Public de l’Electricité (Cspe) plutôt qu’une limite de puissance ».
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?