Effet indirect, cette augmentation a conduit les nutritionnistes à compenser l’augmentation en remplaçant le phosphore par toujours plus de phytase. L’augmentation du pétrole, et par ricochet des matières premières, est une contrainte économique a incité les nutritionnistes à augmenter les doses de phytase microbienne dans les aliments pour le porcelet sevré. Rappelons que cette enzyme est reconnue comme étant une source alternative de phosphore. Mais l’augmentation de phytase n’est pas sans contrainte. Il faut en effet d’une part prendre en compte la quantité de phosphore phytique potentiellement hydrolysable ; d’autre part, l’activité phytasique endogène des matières premières ; enfin, bien suivre le rapport Ca/P de l’aliment. « Notre étude rapporte les résultats de deux essais réalisés chez des porcelets sevrés recevant des régimes présentant différents apports de phytase microbienne et de calcium », expliquait Michel Magin (Basf nutrition animale) lors des 41e JRP.
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