 Fabrice Robert, lors des journées de la recherche porcine. (© C.Zambujo) |
Le sevrage est une période critique pour le porcelet. Cette phase cumule en effet de nombreuses sources potentielles de stress oxydatif : choc émotionnel, exercice physique, changement brutal d’alimentation… De fait, le porcelet est donc à ce stade plus sensible aux pathologies. En outre, ce sevrage peut s’accompagner d’un stress oxydatif susceptible d’entraîner une immunodépression. Ce stress est induit par des défaillances nutritionnelles, des carences ou des excès en antioxydants. «
La correction nutritionnelle du stress oxydatif ne peut pas être faite par des apports en aveugle » expliquait Fabrice Robert, lors des journées de la recherche porcine qui se déroulaient cette année à Paris. «
La raison est la présence d’effets pro-oxydant pouvant être générés par des composés en excès. »
Pour en savoir plus : lire l'article complet: « Santé - Stress oxydatif du porcelet : un problème en passe d’être résolu », avec le témoignage de Fabrice Robert, lors des journées de la recherche porcine, en cliquant ICI.
Retrouvez les palmarès des concours bovins du Space 2025
Dans le Cotentin, « nous vivons avec 30 vaches et 30 hectares chacun »
270 000 vaches dans le désert algérien, est-ce vraiment possible ? Un agronome décrypte
Madison sacrée grande championne Holstein sur le ring du Space 2025
Logiciel, lactosérum, pailleuse… 4 inventions d’éleveurs primées au Space
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Face à une perte de compétitivité inédite, accompagner davantage les agriculteurs
Comment préparer une vache à la césarienne
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine