La fédération nationale ovine (Fno) réitère à l’occasion de la réunion de son conseil d’administration du 8 janvier dernier la nécessité d’aligner le niveau de soutien ovin sur le régime bovin allaitant.
 A Paris, manifestation européenne des éleveurs ovins pour un plan de relance de la filière (© Terre net Média) |
Cette revendication réaffirme sa volonté de voir aboutir dans son intégralité le rééquilibrage de ses aides par rapport à la prime à la vache allaitante. Elle revient à attribuer une prime supplémentaire à toutes les brebis françaises (brebis lait et viande sans zonage) de 27€/tête.
« Le rééquilibrage des revenus permettra de redonner du souffle aux exploitations trop longtemps dans le rouge pour investir. Il sera le point de départ d’initiatives que prendra la Fno en matière de prix et de technique, piliers fondateurs de l’élevage ovin de demain », ajoute le syndicat professionnel.
« Ces revendications sont légitimes et sont inscrites dans un projet de reconquête pour la production ovine ».
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Quelle évolution du prix des terres en Bretagne en 2024 ?
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026