Jouffray-Drillaud étoffe sa gamme maïs avec 5 nouvelles variétés : Damoiso (très précoce), Sumaris (précoce), Soulages (demi-précoce), DS 401 (demi-tardif) et Pico (très tardif).
|
|
D’indice 280 et de groupe SB, Sumaris est un maïs précoce avec un niveau de production élevé. Jouffray-Drillaud souligne sa vigueur au départ, sa régularité et un état sanitaire satisfaisant. « Sumaris valorise les situations à fort potentiel » indique la firme.
Valoriser toutes les situations
Soulages est un maïs demi-précoce d’indice 290 (groupe C1). « Avec une dessiccation rapide de son grain, Soulage atteint des rendements économiques très intéressants » note Jouffray-Drillaud qui met en avant le rapport rendement/précocité, la tenue de tige et le comportement satisfaisant à l’helminthosporiose et à la verse végétative de la variété.
DS 401 est demi-tardif, (indice 400, groupe D) de profil mixte. Il a une forte programmation de grains/m², d’où son potentiel de rendement grain. « Il peut valoriser toutes les situations grain ou fourrage des zones géographiques correspondantes » indique le semencier.
Pico est un maïs très tardif (indice 590, groupe E2). Jouffray-Drillaud annonce une grande régularité de rendement grâce à une programmation grains/m² allant jusqu’à 5.500 et un Pmg moyen de 320 à 340g. Autres points remarquables : sa qualité sanitaire, son développement végétatif et sa tolérance à la verse.

Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?