 Pour une augmentation du prix du lait qui couvre la hausse des charges (© Terre-net Média) |
« Pour assurer le revenu des producteurs, l’interprofession doit maîtriser davantage la mise en production de références supplémentaires qui ne trouvent des débouchés actuellement que sous forme de beurre-poudre à bas prix et de stocks qui gonflent. Rien ne sert de remplir le quota national comme le ministère nous y incite si le revenu des producteurs n’est pas garanti », a déclaré vendredi 10 octobre, la Confédération paysanne au lendemain de la réunion du comité de suivi de l’interprofession laitière.
« Les négociations doivent prendre en compte les notions du prix de revient du lait à la production avec l‘évolution à la hausse des charges (75 € / 1000 litres, indice IPAMPA) et que le producteurs exigent de recevoir l’augmentation de 27€/1000 litres décidée au second trimestre 2008 et qui leur est due », tient à préciser le syndicat.
Enfin,
« le retour des discussions interprofessionnelles serait positif si tous les syndicats représentatifs étaient autorisés à siéger autour de la table, ce qui n’est toujours pas le cas ! ».
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Quelle évolution du prix des terres en Bretagne en 2024 ?
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026